Les Preds garnissent leur attaque !

Le directeur général des Predators de Nashville David Poile s'est assuré de garnir son offensive de belle façon à l'aube de la prochaine saison de la Ligue national de hockey qui débutera le 13 janvier 2021. En effet, ce dernier s'est assuré de conserver les services de l'ailier Mikael Granlund. Il a également accordé un contrat d'une saison au joueur de centre Erik Haula.

Tout d'abord, hier (mardi), Mikael Granlund a paraphé une nouvelle entente d'une saison avec les Preds. Ce pacte est d'une valeur de 3,75 M$. L'athlète de 28 ans avait été acquis par Nashville à la fin de la saison 2018-2019 du Wild du Minnesota en retour de Kevin Fiala. Celui qui avait été un choix de premier tour, 9e au total, lors de l'encan de 2010 par le Wild, a disputé jusqu'à maintenant huit saisons dans la grande ligue. Il totalise 352 points, dont 111 buts en 540 joutes. L'an passé, à sa première saison complète dans la ville du country, il a produit 17 buts et 13 aides pour 30 points en 63 matchs. Il ajouté une aide en quatre rencontres lors de la reprise des activités cet été dans la bulle. Il espèrera rebondir considérablement cette année.

Par la suite, nous avons appris plus tôt aujourd'hui la signature de Erik Haula. Il était l'un des meilleurs centres disponibles sur le marché des joueurs autonomes. Il empochera 1,75 M$ en 2020-2021. Originaire de Pori en Finlande, il portera les couleurs d'une cinquième équipes différentes depuis ses débuts dans la LNH, lui qui a porté l'uniforme du Wild, des Golden Knights de Vegas, des Hurricanes de la Caroline et des Panthers de la Floride. Il a disputé 405 rencontres dans le circuit Bettman tout en inscrivant 175 points. L'an passé avec les Canes et les Panthers, il a amassé 24 points (12 buts-12 passes) en 48 affrontements.

Ces deux joueurs possèdent également beaucoup d'expérience, ce qui nuira certainement pas aux hommes de John Hynes pour la prochaine campagne. Avec la profondeur que les Predators ont, croyez-vous qu'il connaitront du succès ?

Un texte de James Létourneau.